Par sa conduite et son comportement lors de toutes ses visites aux pays du Grand Maghreb directement impliqués dans l’affaire du Sahara, Christopher Ross a donné la preuve qu’il s’était tout le temps comporté comme un Légat Romain, et non comme un vrai envoyé personnel du secrétaire général des Nations Unies. Car, le Légat Romain était le seul dignitaire à pouvoir dicter aux Etats de l’époque sous l’emprise de l’empire Romain le comportement à suivre. Alors qu’avec le système actuel des Nations Unies les prérogatives de la légation sont toutes réglées par la charte des nations unies et par les différentes lois qui lui sont affilées. Les charges légataires que l’envoyé spécial du secrétaire général des Nations Unies cherche à accomplir font, hélas, parties d’un système international révolu. Par sa dernière proposition ou recommandation infiltrée par certains journaux qui lui sont très proches, Christopher Ross voulai...